Conversations avec Kalifara SERE – Partie 1

Les opinions exprimées dans la présente émission sont celles de l’invité. Elles ne prétendent pas refléter les opinions ou les vues du podcast Les Afriques en Question(s) ou de ses Membres. Avec Kalifara Séré, ancien Sécrétaire Général du Ministère de l’Interieur du Burkina Faso 🇧🇫, nous sommes revenus sur le phénomène djihadiste au Sahel, la place du continent africain dans le monde ainsi que sur les dynamiques d’influences des grandes puissances étrangères sur le continent. L’interview a été scindée en cinq parties pour un confort d’écoute plus optimale. Les deux premiers volets consacreront l’idée que se fait notre invité de la place du continent africain dans le monde. Le troisième volet quant à lui, sera consacré aux dynamiques sécuritaires au Sahel Central. Enfin, pour conclure, nous parlerons plus spécifiquement du Burkina Faso et de la refonte de son armée dans les deux derniers épisodes. ⁃ L’interview a été réalisé en plein air, dans le cadre d’une foire littéraire. Nous nous excusons donc, au près de nos auditeurs, pour les nuisances sonores qu’ils rencontreront tout au long des différents épisodes. ⁃ Les auditeurs les plus assidus de notre podcast remarqueront que le format de cette conversation avec Kalifara Séré est différent des autres interviews que nous avons réalisé de part le passé. En effet, cet entretien a été réalisé en tandem avec un intervenant de Radio Miirya. De ce fait, les auditeurs remarqueront qu’il y a deux intervieweurs au lieu d’un seul, pas de panique.

La Centrafrique en Question(s)

Dans ce premier épisode de Les Afriques en Question(s), nous plongeons au cœur de la crise sécuritaire qui secoue la bande sahélo-saharienne. Avec Ousmane Diallo, expert en droits humains, nous explorons les Questions critiques liées aux conflits armés, à l’insécurité, et aux conséquences sur les populations locales.

La crise anglophone en question (s)

Dans ce premier épisode de Les Afriques en Question(s), nous plongeons au cœur de la crise sécuritaire qui secoue la bande sahélo-saharienne. Avec Ousmane Diallo, expert en droits humains, nous explorons les Questions critiques liées aux conflits armés, à l’insécurité, et aux conséquences sur les populations locales.

Le Sahel en Question (s)

Dans ce premier épisode de Les Afriques en Question(s), nous plongeons au cœur de la crise sécuritaire qui secoue la bande sahélo-saharienne. Avec Ousmane Diallo, expert en droits humains, nous explorons les Questions critiques liées aux conflits armés, à l’insécurité, et aux conséquences sur les populations locales.

Conversations avec Kalifara SERE – Partie 2

Les opinions exprimées dans la présente émission sont celles de l’invité. Elles ne prétendent pas refléter les opinions ou les vues du podcast Les Afriques en Question(s) ou de ses Membres. Avec Kalifara Séré, ancien Sécrétaire Général du Ministère de l’Interieur du Burkina Faso 🇧🇫, nous sommes revenus sur le phénomène djihadiste au Sahel, la place du continent africain dans le monde ainsi que sur les dynamiques d’influences des grandes puissances étrangères sur le continent. L’interview a été scindée en cinq parties pour un confort d’écoute plus optimale. Les deux premiers volets consacreront l’idée que se fait notre invité de la place du continent africain dans le monde. Le troisième volet quant à lui, sera consacré aux dynamiques sécuritaires au Sahel Central. Enfin, pour conclure, nous parlerons plus spécifiquement du Burkina Faso et de la refonte de son armée dans les deux derniers épisodes. ⁃ L’interview a été réalisé en plein air, dans le cadre d’une foire littéraire. Nous nous excusons donc, au près de nos auditeurs, pour les nuisances sonores qu’ils rencontreront tout au long des différents épisodes. ⁃ Les auditeurs les plus assidus de notre podcast remarqueront que le format de cette conversation avec Kalifara Séré est différent des autres interviews que nous avons réalisé de part le passé. En effet, cet entretien a été réalisé en tandem avec un intervenant de Radio Miirya. De ce fait, les auditeurs remarqueront qu’il y a deux intervieweurs au lieu d’un seul, pas de panique.